La Ville et les
CFF ont lancé ce projet de pont et d’aménagements routiers dans une perspective
de construction imbriquée, le tout présentant un lien matériel et spatial
indéniable. Une procédure fédérale unique aurait présenté des avantages,
élément que le Tribunal fédéral a reconnu dans son arrêt. Ces considérations en
faveur d’un projet global ont d’ailleurs été validées tout au long de la
procédure par les services cantonaux et les offices fédéraux. En effet, pour
éviter aux Sierrois.es une succession de coûts et de nuisances, la municipalité
avait décidé de regrouper les procédures. Elle s’était basé sur l’avis des
juristes des CFF et de l’OFT qui estimaient que cette solution était conforme
sur le plan légal.